Calipso, la pouliche renommée[EN COURS]

Physique : Calipso n'est pas une jument très grande. Rondouillarde par endroit, trapu par d'autre, elle a une apparence assez particulière. Ses fines jambes sont terminées par de légers fanons. Sa tête est plutôt massive, non creusée, sauf aux niveaux des yeux où ses rochers sont bien dessinés.  Ses yeux sont très foncés, presque noirs. Ses cils immaculés relèvent son regard. C'est une jument au poil épais, mais ras. Sa robe grise présente ds pommellures plus ou moins marquées en fonction des endroits. La croupe et les postérieurs sont les plus marqués. Sa tête n'est que légèrement grisée au niveaux des pommettes. Ses crins sont plutôt épais, et souvent emmêles. Sa crinière ainsi que son toupet sont gris foncés, quand à sa queue, elle est principalement de la même couleur si on omet le bout jaunissant.

Mental :Elle est gentille. Calipso aime se vanter car elle connait beaucoup de choses. Elle est très soignée. Elle n'aime pas les combats, elle préfère rester pour s'occuper des poulains. Elle est très calme. Elle n'est pas du tout autoritaire. Elle aime la compagnie, et déteste se sentir seule. Elle est très sérieuse, parfois trop. Elle est rêveuse. Elle a de l'imagination.

Qualités : Gentille - Douce(2 minimum)
Défauts : Vantarde - rêveuse (2 minimum)

Histoire : La mère de Calipso mourut en mettant bas. La pouliche fut élevée par son père. Les deux chevaux étaient des Solitaires. Son père était chargé de s'occupé d'elle, mais l'étalon n'avait jamais vraiment aimé sa fille. Un hiver, il prétendit partir pour aller chercher un endroit où il y avait à manger. Mais il ne revint jamais. A l'époque, elle ne s'appelait pas Calipso : Elle se nommait Finnie. Lorsqu'elle sortit dans une prairie remplie de chevaux, tout le monde lui jetait des regards noirs.
-C'est cette pouliche qui à chassé son père de chez lui ! murmuraient les gens lorsqu'elle passait près d'eux.
Alors, les poulains poussaient des petits cris de terreur.
-Je n'ai rien fait ! se défendait Calipso.
-C'est ton père qui nous l'a dit ! répliqua une jument, un jour.
-Quoi ?! Mon... père ? Mais... il est parti en disant qu'il partait pour trouver de l'herbe !
-Ce n'est pas ce qu'il nous a dit ! répliqua un poulain.
Calipso s'enfuit à jamais. Un jour, un vieille jument croisa son chemin.
-Tiens ! Une jeune pouliche remplie d'énergie ! s'exclama la vieille jument. Je me nomme Hoota.
Calipso se dit que si elle disait son vrai nom, cette vieille jument allait la rejeté, comme les autres. Mais Calipso sentait qu'elle avait besoin d'un abri.
-Je... je m'appelle Calipso.
Hoota invita la pouliche chez elle. Elle l'hébergea durant des années entières. Cette jument, si méticuleuse était-elle, rendit Calipso très soignée. La vieille jument lui racontait cent milles histoires. Des histoires des Hardes. Depuis, Calipso imaginait très bien les choses. Mais elle imaginait aussi des choses, qui, parfois, n’existaient pas. Calipso et Hoota vivaient une existence très heureuse. L'été approchait. La neige fondait, et les oiseaux chantaient de nouveau. Hoota emmena Calipso dans une vaste prairie.
-Voici Calipso, annonça Hoota à une autre jument âgée.
-Ô ! En voilà, une belle petite pouliche ! Tu es de race lipizzan, ma belle ? demanda la vieille.
-Oui, répondit Calipso.
-Nous sommes parentes ! s'exclama la jument. Je suis Tatyla, une grande amie à Hoota.
-Enchantée ! la salua Calipso.
Calipso pensa au temps où l'ont l'appelait Finnie et pas Calipso. Cette Tatyla aurait poussé un cri de terreur et aurait décamper sur le champ, Hoota sur les talons. Une chance que je me sois changé de nom ! pensa Calipso. A la fin de l'été, tout le monde connaissait Calipso. Mais, Jartynth, un jeune étalon, semblait douter de son identité. Un soir, il la bloqua dans un coin.
-Hey, Finnie ! Ça fait longtemps, hein ?
Maintenant, se visage... cette tête... Jartynth l'avait connue lorsqu'elle s'appelait Finnie ! Elle il l'avait reconnue ! Calipso s’enfuit.  Elle retourna chez Hoota.
-Rentrons, Hoota ! supplia Calipso.
Le lendemain, Calipso et Hoota rejoignirent les autres. Jartynth fixait toujours Calipso. Calipso alla jouer avec d'autres poulains. Mais le ciel s'assombrit soudain. Ginger, une jument alezane, fonça chercher Calipso.
-Calipso ! Viens !
Calipso suivit Ginger. Hoota était allongée.
-Hoota !
La jument ne répondit pas.
-Désolé, Calipso. Elle est... morte, avoua Ginger.
Calipso se cabra et galopa. Loin, très loin. Et elle trouva la Harde dont Hoota lui avait tant parlé. Même si elle était morte, les paroles de la juments restaient dans la tête de Calipso : Si tu rencontres une Harde, rejoins-la. La Harde était comme l'une que Hoota lui avait décrite. Et cette harde, c'était la Harde de Sorros.

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PUF :
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